1. Brenda le 23-08-2025 à 10:17:53 (site)
poème
Ô mer, ô mer immense et triste, qui déroules,
Sous les regards mouillés de ces millions d'étoiles,
Les longs gémissements de tes millions de houles,
Lorsque dans ton élan vers le ciel tu t'écroules ;
Ô ciel, ô ciel immense et triste, qui dévoiles,
Sur les gémissements de ces millions de houles,
Les regards pleins de pleurs de tes millions d'étoiles,
Quand l'air ne cache point la mer sous de longs voiles ;
Vous qui, par des millions et des millions d'années,
À travers les éthers toujours remplis d'alarmes.
L'un vers l'autre tendez vos âmes condamnées
À l'éternel amour qu'aucun temps ne consomme,
Il me semble, ce soir, que mon étroit cœur d'homme
Contient tous vos sanglots, contient toutes vos larmes.
2. Brenda le 24-08-2025 à 10:14:58 (site)
Poéme
C’est Dimanche aujourd’hui. L’air est couleur du miel.
Le rire d’un enfant perce la cour aride :
On dirait un glaïeul élancé vers le ciel.
Un orgue au loin se tait. L’heure est plate et sans ride.
1. Brenda le 22-08-2025 à 15:24:54 (site)
Poème
Cendres taillis ô vos jours
Sont d’infini abandonné
Vos mensonges tels des atours
Sont pleurs, au miroir animés
Maigre miroir et haute tour
Eau de la mort emprisonnée
Dans nul océan hors labours
Fièvre et argile sillonnées
Pleurez que mon espace lie
Espace sur vous accompli
Plus qu’océan sur un banni
Mes fièvres labour taillis morts
À tels mensonges cendre encore
Et argile plus qu’infini.
Amour sombre de terre Golem,
Mort ,avent d'être vivant.
Le silence ne répond pas ,aux sombre couloir,que ce couloir n'éxiste pas .
Un miroir, sans souvenir, sans vie sans pleurs, Muet.
Terre est cendre c'est replié en terre.
Brenda
Commentaires
1. Brenda le 26-08-2025 à 16:59:37 (site)
Jolie imag"s


2. Brenda le 26-08-2025 à 17:02:56 (site)
poème







Ton âme avait alors la blancheur des grands lys
Que berce la chanson des vents rasant la terre ;
L’Amour était encor pour toi tout un mystère,
Et la sainte candeur te drapait dans les plis
De sa robe… Ce fut par les bois reverdis,
A l’heure où dans le ciel perce la lune austère.
Je te vis, je t’aimai, je ne pus te le taire
Et tout naïvement alors je te le dis.
Tu fixas sur mes yeux tes yeux de jeune vierge,
Brillants de la clarté douce et pure d’un cierge,
Ton front rougit… tu n’osas pas me repousser.
Et l’aveu tremblotant, dans un soupir de fièvre,
S’exhala de ton coeur pour errer sur ta lèvre,
Où je le recueillis dans un premier baiser.
3. kylian le 26-08-2025 à 17:28:37 (site)
magnifique article mon amour (l) les images st tres jolies le poéme ossi

je t'aimeeeeeeeeeee (l) ma ptite femme d'amour always (l) à moi