Titre du blog : Soleil Auteur : Brenda Date de création : 22-08-2025
posté le 25-10-2025 à 16:29:10
SacréCoeur
Commentaires
Brendale 28-10-2025 à 10:15:11 Poème
Je dédie à tes pleurs, à ton sourire,
Mes plus douces pensées,
Celles que je te dis, celles aussi
Qui demeurent imprécisées
Et trop profondes pour les dire.
Je dédie à tes pleurs, à ton sourire,
A toute ton âme, mon âme,
Avec ses pleurs et ses sourires
Et son baiser.
Vois-tu, l'aube blanchit le sol, couleur de lie ;
Des liens d'ombre semblent glisser
Et s'en aller, avec mélancolie ;
L'eau des étangs s'éclaire et tamise son bruit,
L'herbe rayonne et les corolles se déplient,
Et les bois d'or s'affranchissent de toute nuit.
Oh ! dis, pouvoir, un jour,
Entrer ainsi dans la pleine lumière ;
Oh ! dis, pouvoir, un jour,
Avec des cris vainqueurs et de hautes prières,
Sans plus aucun voile sur nous,
Sans plus aucun remords en nous,
Oh ! dis, pouvoir un jour
Entrer à deux dans le lucide amour !
kylianle 26-10-2025 à 13:06:23 magnifique tres joliii article mon amour (l) et il est joliii le ptit commandement ossi
je t'aimeeeeee (l) ma ptite femme d'amour always (l) à moi
Brendale 25-10-2025 à 16:34:19 « Quel est le plus grand commandement de la loi ? », demanda l’un des pharisiens à Jésus (Matthieu 22 : 34‑40, Nouvelle édition de Genève 1979 pour ce texte). Sa réponse déjoua la tentative des pharisiens de le piéger pour qu’il positionne une loi avant une autre. Mais elle la déjoua précisément parce qu’ils revendiquaient les mêmes Écritures hébraïques comme fondement de leur propre foi. « Jésus lui répondit : Tu aimeras le Seigneur, ton Dieu, de tout ton cœur, de toute ton âme, et de toute ta pensée » (tiré de Deutéronome 6 : 5). « C’est le premier et le plus grand commandement. Et voici le second, qui lui est semblable : Tu aimeras ton prochain comme toi-même » (tiré du Lévitique 19 : 18).
Commentaires
Poème
Je dédie à tes pleurs, à ton sourire,
Mes plus douces pensées,
Celles que je te dis, celles aussi
Qui demeurent imprécisées
Et trop profondes pour les dire.
Je dédie à tes pleurs, à ton sourire,
A toute ton âme, mon âme,
Avec ses pleurs et ses sourires
Et son baiser.
Vois-tu, l'aube blanchit le sol, couleur de lie ;
Des liens d'ombre semblent glisser
Et s'en aller, avec mélancolie ;
L'eau des étangs s'éclaire et tamise son bruit,
L'herbe rayonne et les corolles se déplient,
Et les bois d'or s'affranchissent de toute nuit.
Oh ! dis, pouvoir, un jour,
Entrer ainsi dans la pleine lumière ;
Oh ! dis, pouvoir, un jour,
Avec des cris vainqueurs et de hautes prières,
Sans plus aucun voile sur nous,
Sans plus aucun remords en nous,
Oh ! dis, pouvoir un jour
Entrer à deux dans le lucide amour !
magnifique tres joliii article mon amour (l) et il est joliii le ptit commandement ossi
je t'aimeeeeee (l) ma ptite femme d'amour always (l) à moi
« Quel est le plus grand commandement de la loi ? », demanda l’un des pharisiens à Jésus (Matthieu 22 : 34‑40, Nouvelle édition de Genève 1979 pour ce texte). Sa réponse déjoua la tentative des pharisiens de le piéger pour qu’il positionne une loi avant une autre. Mais elle la déjoua précisément parce qu’ils revendiquaient les mêmes Écritures hébraïques comme fondement de leur propre foi. « Jésus lui répondit : Tu aimeras le Seigneur, ton Dieu, de tout ton cœur, de toute ton âme, et de toute ta pensée » (tiré de Deutéronome 6 : 5). « C’est le premier et le plus grand commandement. Et voici le second, qui lui est semblable : Tu aimeras ton prochain comme toi-même » (tiré du Lévitique 19 : 18).